Depuis quelques années, l’Europe est prise d’assaut par la fièvre du sauna. Au Royaume-Uni, en Irlande ou en Norvège, entre autres, on voit apparaitre sur les abords des lacs, des ruisseaux ou divers endroits publics des cabines surchauffées. À Oslo, capitale norvégienne, la mode est aux saunas flottants, où les travailleur·euse·s plongent dans l’eau glacée sur l’heure du lunch. On trouve même facilement sur le web des instructions pour concevoir notre propre installation, qu’elle soit sur roues ou fixe, dans notre cour arrière.
Et de ce côté-ci de l’Atlantique? «L’industrie des spas nordiques est florissante au Québec. On en compte une quarantaine à travers la province», observe Frédérik Nissen, cofondateur du Solstice sauna, un sauna mobile accessible cet hiver sur la plage de North Hatley dans les Cantons-de-l’Est (le sauna sera retiré en été). Selon lui, notre intérêt pour les activités impliquant des chocs de température n’est plus à démontrer.
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