Vie et mort du gazon

Illustrations par Valérie Mercier

Le gazon, on l’aime un peu, passionnément, à la folie… ou pas du tout. Bien ancré dans notre culture, il est doté d’une puissante charge émotive. D’un côté, il symbolise les après-midis à flâner dans un parc, les barbecues en famille dans la cour arrière, les parties de soccer. De l’autre, on lui associe les infâmes bruits de tondeuse, les arrosages répétés et l’alignement monotone des maisons de banlieue.

La pelouse est partout: elle occupe 2% du territoire des États-Unis continental, une superficie trois fois plus grande que n’importe quelle culture irriguée, ce qui en fait la plus importante monoculture sous nos latitudes. Tellement partout, en fait, qu’on ne la remarque plus. Son impact, sur nos vies et sur la planète, n’en est pas moins immense — et de plus en plus décrié.

Notre amour du gazon aurait-il atteint ses limites? Tour d’horizon.

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